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Livre d'or

Stephen
Many thanks! This a impressive web page.
Ania Thiemann, MENA-OCDE
"Nous avons apprécié la contribution du Dr Chaden Diyab représentante de l'IES EMEA pour le travail de la Task Force MENA-OCDE sur l'énergie et l'Infrastructure. Ses idées ...
Dr Fouad Mrad, ONU - CESAO/ESCWA
"Je suis sûr que le Dr Diyab et son entreprise de Transfert de Technologie, l'IES, peuvent offrire un service necessaire à toutes les parties prenantes afin de garantir des relations durab...

Dr. Chaden Diyab

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Dr Chaden DIYAB est le fondateur d’IES EMEA (Environnement Industriel & Durabilité), une société de conseil en stratégie basée à Paris et spécialisée dans le domaine de l'environnement et du développement durable en zone EuroMed. Elle a beaucoup travaillé au Moyen-Orient et en Europe sur des problématiques environnementales (risques et impacts de pollutions, développement de technologies innovantes pour la gestion des déchets et le traitement des pollutions...).
Dr Chaden DIYAB est ingénieur chimiste et a obtenu un doctorat en sciences de l'environnement de l'Université Pierre et Marie Curie (Paris, France). Elle a travaillé en France pour des sociétés internationales spécialisées dans le domaine des infrastructures et de l’environnement, pour lesquelles elle a été chargée de définir la stratégie technique, de développement commercial et de partenariat.
Dr Chaden DIYAB est membre d'un groupe de travail de l'OCDE : MENA-OECD Business Council on issues related to energy, infrastructure and climate change in the MENA (Middle East and North Africa). Le rôle de ce groupe est de fournir des lignes directrices et des conseils aux décideurs politiques pour favoriser l'innovation et les investissements verts dans la zone MENA. Son rôle est aussi d'identifier et d'analyser les obstacles existants pour les investisseurs et les entreprises. Le groupe de travail fournit des recommandations pour les décideurs, ainsi qu'une analyse sur les défis de l'énergie et de l'innovation dans la région MENA.
Dr Chaden DIYAB assure la formation d’industriels et d’organismes de développement économique français en région parisienne (Essonne, Val de Marne). Elle est intervenue au Moyen-Orient sur des questions environnementales liées à la gestion de pollutions, notamment en tant que chef de projet impliqué dans la gestion d’une pollution côtière par des hydrocarbures au Liban.
Elle a contribué au déploiement du dispositif de gestion, au traitement par des techniques innovantes et à la gestion des relations avec les organismes locaux. Dr Chaden DIYAB a par ailleurs contribuée à la mise au point de technologies vertes pour le traitement de pollutions des eaux et des sols.
Au Moyen-Orient, elle a travaillé en Iran avec des compagnies iraniennes pour la formation de 40 responsables industriels de haut niveau sur les meilleures pratiques de gestion de problématiques d’environnement, d’énergie (efficacité énergétique) et de déchets .Outre ces projets, elle a été impliquée dans la cadre de la convention « canal de la paix » en Jordanie, elle a aussi été choisie pour intervenir lors de la conférence « EuroGulf : rejoindre les Forces dans un monde en évolution » en 2010 au Koweït (rôle de l'efficacité énergétique pour les pays du Golf).
Dr Chaden DIYAB est intervenue en tant que conférencier sur le rôle des solutions énergétiques innovantes (durabilité des combustibles fossiles et transport écologique) dans le cadre de l'institut Amadeus (Maroc) MEDDAYS 2010. Elle collabore aussi avec un Institut  polytechnique (LaSalle Beauvais) pour le développement de nouveaux concepts en faveur de l'innovation et du partenariat entre les pays du Nord et du Sud.
IES EMEA (Environnement Industriel & durabilité) a pour ambition d’être un acteur clé du développement du partenariat industriel entre les rives Nord et Sud de la Méditerranée.

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Rêvons la ville

« Rêvons la ville ». Cette parodie depuis longtemps nous passionne, laissant place à  l’imaginaire et à la réflexion logique rationnelle. Cette réflexion ne présente pas juste une utopie mais une vérité et une demande interne de vivre mieux en harmonie avec la nature.

Dans l’histoire Grecque, Aristophane se moquait d’Hippodamos et de la construction au cordeau de la ville de Millet dans la pièce « Les Oiseaux » (414 av.JC) : « Je prendrai mes dimensions avec une règle droite que j’applique de manière que le cercle devienne carré. Au centre il y aura une place publique, où aboutiront des rues droites convergeant vers le cercle même et, comme d’un astre lui- même rond, partiront en tous sens des rayons droit ». Les sages de l’époque fuyaient une cité trop rationnelle, devenue invivable, pour fonder, entre ciel et terre, une ville sans contraintes. Aujourd’hui, organisons-nous encore notre ville sur cette logique mesurée sans prendre une âme particulière à une telle définition ?

Aujourd’hui nous parlons de nouveau des Green Cities, que cache cette notion ?

Une ville qui respire correctement sans le poids des nuages de pollution industrielle ou urbanistique capable de l’étouffer avec le temps.

Une ville capable de gérer ses terres chargées par l’histoire industrielle lourde grâce à une dépollution à la source de son milieu (bactérie capable  de manger la pollution métallique et ou encore des plantes qui digèrent la pollution anthropique).

Une  ville capable de caresser le visage de soleil et absorber le vent grâce à l’installation sur le dos de ses bâtiments des plateaux capable d’accueillir les rayons de soleil comme pour construire une sorte de dialogue de Platon : l’image de bien être pour faire fonctionner la ville indépendamment de toute une autre sorte d’énergie ….

Un fonctionnement idéologique et utopique où le bien être de soi et la bonneté et la paix envers les autres ne peux se séparer d’une technologie avancée.

L’essentiel peut être là mais nous n’oublions pas que l’essentiel est toujours l’homme en harmonie avec son système technologique développant et sa nature.

Une image qui reste gravée dans ma mémoire est celle de Beyrouth, pendant les conflits de 2007. Cette ville meurtrie par les conflits où ses rues et ses plages souffrent de la dernière marée noire,  où son centre-ville et ses bâtiments portent encore les traces des balles de la guerre civile comme pour rester témoins des bêtises de l’homme. Ce jour-là, le 20 juillet 2007 j’ai senti Beyrouth comme une ville fatiguée et accablée par la guerre, cherchant désespérément à oublier son passé et à retrouver sa joie de vivre. Aujourd’hui, j’ai une pensée également pour toutes les autres villes qui subissent la guerre, et où le conflit leur efface une partie identitaire.

Et comment allons-nous reconstruire de nouveau ? Comment nous allons, avec nos technologies européennes, avancer et revisiter ces villes souffrant de la guerre ainsi que d’une planification urbaine non étudiée. Il y a la nécessité d’une construction d’un dialogue humain et technologique pour que nous avancions mais aussi et pour que ces villes avancent.

Une phrase qui m’interpelle est une phrase de Michel Ragon tirée de l’ouvrage « L’homme et les villes » (1995) : « Tout le monde rêve d’une cité idéale. Sauf ceux qui considèrent comme satisfaisante la ville qu’ils habitent. Mais ils sont rares. Aussi rares que ceux qui trouvent parfaite la société dans laquelle ils vivent. Le philosophe dans sa bibliothèque et le déraciné dans son bidonville rêvent d’une ville qui puisse satisfaire aussi bien leur quotidienneté que leurs fantasmes. »

Code Ethique

colombe-iesParce que le savoir vivre et le professionnalisme ne sont pas incopatibles, l'IES se dote d'un code éthique pour 2012.

Le code éthique de l'IES

la fondatrice

 

Depuis le début de l’année, le film français « the Artist » n’arrête pas de faire parler de lui. Enchaînant les succès dans les évènements internationaux le plus réputé, Oscar et César, un hommage au cinéma muet, une consécration à une ancienne forme de dialogue corporel, en employant l’importance des gestes des personnages plus tôt que le langage parlé habituel.

« The Artist » remet au goût du jour cette forme de communication de plus en plus perdue au 21° siècle, siècle des nouvelles technologies de communication (TIC) avec l’émergence d’internet, des Smartphones qui nous encouragent, voir nous orientent, à une forme de communication écrite, incessante au travail comme dans la sphère privée.

Sommes-nous dans une désespérance de mode de communication actuelle, un vrai retour à la simplicité du passé ?

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